
La cause de l'explosion du bus GNC de Stockholm est maintenant déterminée
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Une radio de communication bidirectionnelle peu audible, des retards et le fait que le conducteur n'ait pas remarqué les panneaux de signalisation : tels sont les problèmes sous-jacents qui ont conduit à l'explosion du bus GNC à Stockholm en mars, selon une étude indépendante réalisée par la compagnie de bus Keolis.
Les Nouvelles du CTIF ont déjà écrit sur cet incident en mars. Cliquez pour lire cet article et pour voir également une vidéo du développement de l'incendie.
Selon l'enquête, une bouteille de GNC (gaz naturel comprimé) a dû pénétrer dans le toit du bus et remplir le bus de gaz. C'est l'explication officielle de l'explosion massive, à laquelle le conducteur a miraculeusement survécu.
De nombreux problèmes à l'origine de l'incident
Selon une enquête indépendante commandée par la compagnie d'autobus Keolis, dont la station de radio P4 Stockholm a été la première à faire état, de nombreux dysfonctionnements ont conduit à l'accident au cours duquel un autobus à propulsion GNC a été complètement détruit par un incendie explosif dans le tunnel de Klara à Stockholm en mars.
Dans le rapport, des membres du personnel occupant différents postes chez Keolis, dont le chauffeur, ont été interrogés.
Le panneau était difficile à voir
Au moment où le bus devait quitter le dépôt, un tuyau s'est coincé dans le rétroviseur, ce qui a conduit le bus à partir un quart d'heure après l'horaire prévu. Le conducteur a ensuite pris la route à contresens et s'est dirigé vers le tunnel - dont le gabarit est trop bas pour que le bus puisse passer - sans voir le panneau d'avertissement, qui, selon l'enquête, était difficile à percevoir même à faible vitesse.
Pendant ce temps, le conducteur tentait de converser avec le contrôle de la circulation au moyen d'une radio de communication difficile à utiliser et peu audible.
Une bouteille de GNC a pénétré le toit du bus.
Le bus a ensuite percuté un obstacle destiné à empêcher les véhicules hors gabarit d'entrer dans le tunnel. Une bouteille de GNC (gaz naturel comprimé) a été poussée à travers le plafond et le gaz s'est répandu dans le bus. Lorsqu'il s'est enflammé, le feu s'est développé si rapidement que la vitre avant a été arrachée. Les quatre réservoirs de gaz restés sur le toit se sont enflammés et ont également contribué à l'incendie.
La compagnie de bus Keolis indique dans une déclaration qu'elle va notamment revoir ses efforts de formation et discuter avec la municipalité de la manière d'améliorer la visibilité de la signalisation dans le tunnel.