Cinq policiers arrêtés pour l'incendie d'une prison vénézuélienne
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Cinq policiers ont été arrêtés, soupçonnés d'être responsables de l'incendie catastrophique survenu dans un commissariat de police au Venezuela la semaine dernière.
Le chaos s'est installé lorsqu'un incendie s'est déclaré jeudi au cours d'une émeute dans ce commissariat surpeuplé du nord du Venezuela la semaine dernière. 68 personnes sont mortes dans l'incendie.
L'information selon laquelle cinq policiers sont soupçonnés d'être responsables du sinistre provient du procureur Tarek William Saab, qui ne divulgue pas plus de détails.
Des témoins ont déclaré qu'il y avait eu une fusillade entre la police et les prisonniers. Une veuve a accusé la police d'avoir libéré du gaz qui a provoqué la propagation du feu entre les cellules surpeuplées.
La tragédie de Valence, troisième ville du pays, est l'une des pires que le Venezuela ait connues en matière de prisons et d'arrestations. L'incendie a suscité des protestations nationales et des condamnations officielles de l'ONU.
Saab, proche allié du président du pays, Nicolás Maduro, a promis que l'incendie ferait l'objet d'une enquête et que "les responsables seront punis sans exception".
Le gouvernement du Venzuela a déclaré vendredi que les familles des victimes devraient être indemnisées, sans préciser les montants. Selon les autorités, 66 prisonniers et deux visiteuses sont morts dans l'incendie.
L'opposition impute cette tragédie à l'incapacité de M. Maduro à réformer les prisons anarchiques du pays, où les détenus peuvent souvent porter des armes et continuer à commettre des crimes depuis leur cellule.
La police de l'État de Carabobo n'a pas encore commenté les arrestations.
Les prisons vénézuéliennes sont très surpeuplées, ce qui a conduit à la condamnation des prisonniers aux arrestations dans les commissariats de police, qui accueillent souvent cinq fois plus de prisonniers que les cellules sont conçues pour.